J'avais décidé de ne pas m’économiser sur ce weekend Vosgien.
Paris réussi, je suis mort, déjà samedi soir avec ces planches de ski a tracter pendant 30 bornes j'avais des crampes sur le coté des quadris en retirant les pompes de ski.
Ça s'annonçait tout bon pour le trail du lendemain. Heureusement on a passé une bonne nuit, si on enlève les abrutis qui ont fait la foire jusqu'à 4h du mat pour un réveil a 6h.
Merci au patron du Gazon Rouge d'avoir mis fin au bordel (j'ai bien pensé me lever mais mes jambes ne voulaient pas) et aussi pour son hospitalité.
Coté Trail, départ devant mais tout doucement puis direct a 4 pattes dans le dru puis tranquille dans la première bosse, aie mes cuissots sont en feux.
Une fois arrivée dans les premiers single rien ne sert de jouer a saute mouton dans la poudreuse, j'attends la suite.
Arrive la deuxième bosse et comme souvent des petits trains se forment avec toujours un mec planté devant que personne ne peut ou veut doubler.
Donc pendant toute la deuxième bosse, la tactique sera je reviens sur le groupe, je me cale derrière je récupère et boom attaque dans la poudre je reprend mon rythme et ainsi de suite 5, 6 groupes de 6 à 12 types, arrive le haut de la bosse un gars me dit la vache tu marches vite toi, et voilà l'effet Ben (Vas-y c'est ton jour, tu vas faire un malheur) on s'enflamme j'attaque la descente je coupe les virages dans la poudre je double je double arrive le ravito, un petit Tuc + thé et c'est repartie, aie 2 mamelons qui cassent bien les pattes (normalement ça revigore les mamelons).
Transfère routier très court jusqu’à la 3 et dernière bosse, j'en prend un coup derrière les étiquettes. Puis un gamin annonce 210, il parait qu'il y avait un panneau lumineux qui donnait la place, une nouveauté, je ne l'ai pas vu.
210 sur 850 merde c'est premier quart ça, je suis reboosté sur le coup. Par contre je ne sais pas du tout où on se trouve, ils m'ont complétement désorienté je ne sais pas vers où l'on grimpe, je reviens sur un groupe, et là je me dis bon ça va je reste tranquille.
Le gars de devant se met a chanter, il a un baladeur ou I pod pour les plus jeunes, Bloody Hell une fois deux fois il gueule comme un con, je lui tape sur l’épaule, chut. Il se calme bien que des fois tu sens qu'il voudrait remettre ça, là c'est le mec de derrière qui éructe.
Et merde je me casse et c'est repartit je repars avec ce qui me reste comme force.
Voilà la dernière descente dans la poudre toujours puis 500m de route et arrivée dans le gymnase.
186, 24 places sur les 8 derniers Kilomètres, ça fait du bien a la tronche.
C'etait vraiment spéciale comme Trail blanc avec autant de poudreuse, vraiment pas beaucoup couru.
Sinon bonne ambiance Reno-Meudonnaise c’était vraiment un bon week-end, pour le skating on ira dans le Jura la prochaine fois.
Bravo à Cécile pour la Trace.
Bon courage pour le Vulcain amusez vous bien.
Paris réussi, je suis mort, déjà samedi soir avec ces planches de ski a tracter pendant 30 bornes j'avais des crampes sur le coté des quadris en retirant les pompes de ski.
Ça s'annonçait tout bon pour le trail du lendemain. Heureusement on a passé une bonne nuit, si on enlève les abrutis qui ont fait la foire jusqu'à 4h du mat pour un réveil a 6h.
Merci au patron du Gazon Rouge d'avoir mis fin au bordel (j'ai bien pensé me lever mais mes jambes ne voulaient pas) et aussi pour son hospitalité.
Coté Trail, départ devant mais tout doucement puis direct a 4 pattes dans le dru puis tranquille dans la première bosse, aie mes cuissots sont en feux.
Une fois arrivée dans les premiers single rien ne sert de jouer a saute mouton dans la poudreuse, j'attends la suite.
Arrive la deuxième bosse et comme souvent des petits trains se forment avec toujours un mec planté devant que personne ne peut ou veut doubler.
Donc pendant toute la deuxième bosse, la tactique sera je reviens sur le groupe, je me cale derrière je récupère et boom attaque dans la poudre je reprend mon rythme et ainsi de suite 5, 6 groupes de 6 à 12 types, arrive le haut de la bosse un gars me dit la vache tu marches vite toi, et voilà l'effet Ben (Vas-y c'est ton jour, tu vas faire un malheur) on s'enflamme j'attaque la descente je coupe les virages dans la poudre je double je double arrive le ravito, un petit Tuc + thé et c'est repartie, aie 2 mamelons qui cassent bien les pattes (normalement ça revigore les mamelons).
Transfère routier très court jusqu’à la 3 et dernière bosse, j'en prend un coup derrière les étiquettes. Puis un gamin annonce 210, il parait qu'il y avait un panneau lumineux qui donnait la place, une nouveauté, je ne l'ai pas vu.
210 sur 850 merde c'est premier quart ça, je suis reboosté sur le coup. Par contre je ne sais pas du tout où on se trouve, ils m'ont complétement désorienté je ne sais pas vers où l'on grimpe, je reviens sur un groupe, et là je me dis bon ça va je reste tranquille.
Le gars de devant se met a chanter, il a un baladeur ou I pod pour les plus jeunes, Bloody Hell une fois deux fois il gueule comme un con, je lui tape sur l’épaule, chut. Il se calme bien que des fois tu sens qu'il voudrait remettre ça, là c'est le mec de derrière qui éructe.
Et merde je me casse et c'est repartit je repars avec ce qui me reste comme force.
Voilà la dernière descente dans la poudre toujours puis 500m de route et arrivée dans le gymnase.
186, 24 places sur les 8 derniers Kilomètres, ça fait du bien a la tronche.
C'etait vraiment spéciale comme Trail blanc avec autant de poudreuse, vraiment pas beaucoup couru.
Sinon bonne ambiance Reno-Meudonnaise c’était vraiment un bon week-end, pour le skating on ira dans le Jura la prochaine fois.
Bravo à Cécile pour la Trace.
Bon courage pour le Vulcain amusez vous bien.